Le terrain de Carré de Trèfles s’annonce fertile : le XXIe siècle se laisse entrevoir riche de nouvelles valeurs, portées vers l’altruisme, la générosité, la solidarité. Parce que les valeurs typiquement masculines (force, vaillance…) ne sont plus dominantes dans nos sociétés. Parce qu’une ère d’intérêt porté à l’autre, d’entraide et de soutien est pressentie. Parce que les temps changent et que le début d’un millénaire font réfléchir. Parce que l’homme a besoin de croire à nouveau, à la recherche d’un nouveau souffle mystique ou de nouvelles superstitions…
L’aube du troisième millénaire est une occasion évidente pour marquer l’émergence de ces nouvelles réflexions, de ces nouvelles valeurs. Comment, alors, marquer aux autres son intérêt, la rareté de ses meilleures pensées, l’accompagnement dans leurs actes et dans les événements traversés, la sympathie ou l’affection ? Le tout, de façon discrète, omniprésente, rare, raffinée, presque élitiste ? Il est immédiatement apparu que le trèfle à quatre feuilles était ce vecteur magique…
A Carré de Trèfles de le valoriser par une présentation élégante, grâce à une collection d’objets créatifs, raffinés à s’offrir ou à offrir à ceux que l’on aime, en gage de soutien dans l’épreuve, en gage d’affection, afin d’essayer de mettre toutes les chances de son côté.
La première étape a été, bien sûr, de rechercher le partenaire capable de produire les têtes de trèfles si rares et si nécessaires. Cette première recherche fut menée à bien et se concluait avec la signature de la licence exclusive de l’I.N.R.A., faisant de Carré de Trèfles le seul producteur de Trifolia repens sur le marché français, l’unique et le véritable trèfle à quatre feuilles porte-bonheur, celui des champs et des chemins creux…
Carré de Trèfles a délibérément opté pour une gestion de la rareté du trèfle à quatre feuilles, en se refusant à une diffusion à grande échelle du précieux végétal et la banalisation de sa magie. L'objectif de l'entreprise vise le long terme et Carré de Trèfles, entreprise-citoyenne, se veut porteur d'une éthique sur tous les champs de son intervention. Ces résolutions se résument en quatre points et sont d'une rare fraîcheur :
1. des produits naturels, sains, écologiques, n'utilisant que des matières premières recyclables (différentes essences de bois, verre, plastique…) ou déjà recyclés (papier, carton, copeaux de bois…)
2. des design simples, intemporels ou contemporains, afin d'ancrer le trèfle dans la modernité surgie de la tradition
3. un intérêt pour l'avenir via des produits constamment renouvelés pour une politique de courtes séries et d'offres limitées
4. une volonté de créer des liens différents entre les individus, grâce aux messages d'affection véhiculés et à l'attention portée…
Carré de Trèfles a sélectionné en France des boutiques de fleuristes ou d’objets-cadeaux partageant un même esprit de créativité, d’esthétisme, de modernité et de simplicité sophistiquée. Ce réseau de magasins, particulièrement qualitatif, a la particularité d’être exclusif et original. Il est un point d’appui très important de Carré de Trèfles et la certitude d’y trouver en France la cohérence parfaite avec le style de boutique que vous aimez. Vous y trouverez des articles valorisant le trèfle à quatre feuilles.
Une culture en quatre champs :
Un champ populaire
Un champ symbolique
Un champ historique et régional
Un champ naturaliste
Un champ populaire
Eve, avant d’être chassée du paradis, emporta un trèfle à quatre feuilles en mémoire des temps heureux qu’elle y coula. Le trèfle à quatre feuilles, depuis des temps immémoriaux, est lié à l’exceptionnel, au rare, étant lui-même une particularité naturelle d’exception. Les Celtes de l’époque pré- chrétienne le portaient en très haute estime, en tant que charme contre les esprits mauvais. Leurs druides le cueillaient avec révérence et le considéraient comme un signe de chance, notamment parce qu'il annonce l'orage, en redressant ses feuilles. Plus tard, la légende chrétienne a assis définitivement son excellente réputation : le trèfle a servi d'oreiller à l'enfant Jésus et "en plein hiver, a épanoui ses jolies fleurs sous sa tête"...
La croyance populaire a fini par fixer à jamais ses qualités rares :
Une feuille pour la renommée
Une feuille pour la richesse
Une feuille pour l’amour sincère
Une feuille pour la santé…,
qui font que le trèfle à quatre feuilles a toujours été porteur de toutes les vertus.
Rien d’étonnant qu’il soit devenu, dans le langage des fleurs, le messager de l’amour :
le trèfle blanc est une demande d’intérêt affectif (« Pensez à moi » réclame- t ’il) et offrir un trèfle à quatre feuilles est plus insistant encore. Sa signification (« Soyez à moi ») est une véritable demande en mariage… La preuve qu’il est le témoin de tous les grands événements de la vie, un signe avant-coureur !
Alors pourquoi cette magie du trèfle à quatre feuilles ? Parce qu’il est exceptionnel, en tant qu’anomalie du trèfle à trois feuilles.
A regarder de plus près la vitrine que consacre le Musée des Arts et Traditions Populaires de Paris aux croyances depuis la nuit des temps historiques, "des moyens s'offrent à l'homme, magiques, magico-religieux, empiriques ou savants, pour écarter la foudre de sa maison, de ses biens et de sa personne, éviter ou soigner les maladies et les blessures, s'attirer le bonheur et la chance". Parmi ces moyens magiques et autres superstitions populaires, le trèfle à 4 feuilles a sa place à côté des recours plus religieux (croix, ex Voto, ceinture de la Vierge, pour éviter les accouchements douloureux, clé de Saint Tugen pour préserver de la rage Finistère XIXe) :
1. Les pierres pour se protéger de la foudre : roches vitrifiées, minerai de fer, "pentacrines" (ou étoiles de pierre) posées sur le rebord des lucarnes…
2. Les surjougs (pièces de bois sculptées fichées au faîte des jougs de bœuf) pour protéger le bétail de la foudre (Puy-de-Dôme)…
3. Les pierres contre les inondations, la grêle, les tremblements de terre… placées dans la poche (Sainte-Brigitte, XIXe siècle, Morbihan)…
4. Les pierres à venin contre les morsures de serpent (XVIIIe siècle, Cantal)…
5. Les pierres de sang (Ardèche, fin XIXe) qui sont des jaspes rouges à placer sur la nuque en cas d'hémorragie, les pierres de Pigote, variolites contre la clavelé des ovins…
6. Le petit cochon (vers 1885, il est « porte- veine »), la tortue et le trèfle à quatre feuilles, porté en pendeloque de bracelet (Paris, fin XIXe).
Un champ symbolique
La raison est sans doute religieuse. Une légende raconte que Saint Patrick, au Ve siècle lorsqu'il commence à évangéliser l’Irlande, cueillit un trèfle à trois feuilles pour signifier la Sainte Trinité (3 représentations pour un seul être). Une autre rappelle que Saint Patrick eut la vie sauve en tuant un serpent avec un bâton en forme de trèfle à trois feuilles. Patrick laisse dans les mémoires le souvenir de la chasse qu'il mena avec un bâton magique contre les serpents qui infestaient l'Irlande. Depuis le Moyen-Age, il est donc représenté en évêque, avec mitre et crosse, reconnaissable surtout grâce au trèfle représenté sur sa crosse, sur laquelle est également parfois enroulé un serpent... De cette illustration simple de la Trinité vient l’attachement de l'Irlande au trèfle appelé shamrock. Mais le trèfle à quatre feuilles lui est bien supérieur. "La valeur mystique du chiffre 4, signe astrologique de Jupiter est en rapport avec l'idée de maîtrise, associé à celui du quaternaire dans la quatrième lame du tarot" (René Guénon in "Symboles de la science sacrée"). Le quatre est en relation avec la croix, le carré : il y a quatre saisons, quatre fleuves du paradis, quatre humeurs, quatre points cardinaux, quatre grands prophètes (Isaïe, Jérémie, Ezéchiel et Daniel) et quatre docteurs de l’Eglise (Augustin, Ambroise, Jérôme, Grégoire le Grand). Le quatre désigne surtout les quatre lettres du nom de Dieu, le tétragramme YHWH, Yahvé que l’on vocalise sous le nom de Jéhovah… (source : l’Encyclopédie des symboles - Encyclopédies d’aujourd’hui, Le livre de Poche)
Pline, rapportant les croyances des Anciens, a évoqué les vertus médicinales du trèfle contre les morsures de serpents et les piqûres de scorpions, ainsi que contre l'empoisonnement. "Je note encore", écrivait-il, "que la graine de l'espèce à petites feuilles, en enduit sur le visage, est utile aux femmes pour préserver l'éclat de leur peau" (livre XXI). On soutenait que les chevaux de Zeus acquéraient leur force en mangeant du trèfle tandis qu'Homère attribuait à la plante l'immortalité et le pouvoir de donner richesse et protection.
Un roman traduit de l'espagnol « Pedrito de Andia» de Rafaël Sanchez Mazas nous apporte peut-être quelques lumières: «J'attrapais avec la main un serpent d'eau...Quand je le lâchai, dans un pré rempli de trèfle, le Père me dit: «Nous avons «anguis in herba et nous allons voir à présent si c'est vrai que «serpentes nunquam in trifolio quiescunt» (sans doute une citation de mémoire, avec une variante, du texte de Pline: «Serpentes nunquam trifolio aspiciuntur»). Je lui demandai de m'expliquer cela. Il me répondit que d'après les Anciens, le trèfle ou trifolium, de même que les vignes en fleur, le céleri sauvage et d'autres plantes... était très contraire aux serpents et les obligeait même à se retirer ; d'autres, au contraire, leur étaient favorables et les attiraient, comme le frêne et le lierre. « C’est pour cela que les jeunes filles du village allaient, la nuit de la Saint-Jean, cueillir du trèfle...Elles croyaient se défendre, avec le trèfle, contre leur grand ennemi, le serpent… » Le texte de Pedrito de Andia n'indique pas clairement que le trèfle soit une recette médicinale : il se contente de dire que le serpent est mis en fuite par le trèfle ». Ce qui nous rapproche des légendes d'Eve et de Saint Patrick, où le serpent est lui aussi présent…
Bref, le trèfle à quatre feuilles est le grand favori lorsqu’il s’agit de porte-bonheur. L’interprétation de cette superstition est superficielle : comme le trèfle à quatre feuilles est rare, le fait d’en trouver un est tenu pour un signe de chance ; au fil du temps, on a d’ailleurs fini par considérer que c’était la feuille elle-même qui portait chance. Encore plus appréciée quand elle a cinq feuilles, ce qui est encore plus rare…
Dans les Vosges, sa forme crucifère préserve de tous les enchantements. La croyance populaire veut qu’il soit cueilli de nuit à la pleine lune, pour un pouvoir encore plus grand.
« Trèfle à quatre feuilles assure un mari à la belle » disait-on. La symbolique originelle du trèfle se rapporte en réalité à la croissance vigoureuse de cette plante qui est le signe d'une vie pleine et ardente. Le trèfle vert a joué un rôle important dans la poésie lyrique au Moyen Age qui considérait que la proximité du trèfle rendait un lieu propice à l’amour. Pour donner plus de valeur à un acte, on l’accomplissait aussi sous les auspices d’un trèfle vert. Le trèfle a tout d’abord été employé comme ornement de pierre tombale, en référence à l’idée de résurrection (il a été remplacé, depuis le XIXe siècle, par le romantique lierre, aux accents plus mortifères que les Anciens soulignaient "une plante où aiment à se nicher les serpents"). Le trèfle à 4 feuilles constituait de même, et par anticipation, un symbole de nouveau départ et on l’associait souvent à la rose (symbole de l’amour).
Un champ historique et régional
Déjà, au XVe siècle se disait « celui qui trouve le trèfle à quatre feuilles, s’il le garde en révérence, sachez qu’il sera heureux toute sa vie ». Au temps des troubadours, Guiraut de Calanson fait allusion à sa recherche :
« Fol serai si del trefueilh vau querren la carta fueilla »
La signification de ce vers est mystérieuse (peut-être veut-elle dire qu'il est vain de chercher l'impossible).
« Mais si le poète se refuse à cette folle recherche, c'est bien la preuve que c'était là un usage répandu » (dans la revue Folklore "A propos du trèfle à 4 feuilles" de Simone Brissaud, 1957)
Selon une croyance du Moyen-Age, consommer pendant quatre jours du trèfle à 4 feuilles guérissait des fièvres… Au XVIe siècle, il promet bonheur et richesse jusqu'à la fin de ses jours. Début XIXe, la croyance n’a pas changé : le trèfle à quatre feuilles assure à chacun d’obtenir ce qu’il désire : aux joueurs, la chance et le gain, aux lutteurs, la victoire. Il permet de voyager sur l’eau sans danger, assure- t ’on en Wallonie, tandis qu’en Lorraine et dans le Valois, « qui cueille un trèfle à minuit sera bientôt marié ». Il aide aussi à deviner ce qui est caché, à trouver la vérité, accordant le don de double vue. C’est du moins ce que l’on croit en Basse-Bretagne et aussi en Belgique (d'où l'expression "Il ne faudrait pas un trèfle à 4 feuilles pour deviner cela"). Glissé entre les pages d’un missel, il a un pouvoir double : écarter les fantômes comme le pensent les Lorrains et attirer les amoureux, dans toutes les autres régions, puisque trempé dans l'eau bénite, il rend l'amoureux irrésistible ! Passer le trèfle à 4 feuilles sous le nez de l'aimé(e), le glisser dans sa poche… suffit à gagner l'amour de l'être désiré. Dans les Vosges, on recommande de dire, au moment de respirer le parfum du trèfle : "Gabriel, illa sunt …"
En Béarn, on lui prête des vertus curatives : il faut frotter la partie du corps malade entre onze heures et minuit avec un trèfle blanc à quatre feuilles, en prononçant (en béarnais !) ces paroles : « mal sauvage, mal sorcier, sors de là, de la part du bon Dieu ». Cette pratique est surtout efficace pour les affections de la vue. Le trèfle aurait pu rester confiné au milieu rural. En fait, il a connu une carrière fulgurante, à Paris comme en province, dans tous les milieux et à toutes les époques. On l’enferme dans un médaillon, il est dessiné, brodé, sculpté… A Paris, vers 1877, c’est simple, il fait fureur. Il est présent à tous les étalages de bijoutiers, en pendeloque de bracelet, de chaîne de montre, en épingle de cravate ou à chapeau. Vous pouvez l’acquérir en médaillon, en broche, en agrafe de manteau.
Dans les années 1900, il apparaît en hausse-col et s’épanouit volontiers sur les cartes postales et le papier à lettres. Les soldats qui partent à la guerre en emporteront souvent un, offert par leur mère ou par leur fiancée, fragile porteur d’un espoir immense. La mémoire de ces temps passés, par les cartes postales d'époque chinées aux Puces et dans les brocantes, est touchante d'une naïveté presque poétique…
Expédition : 20 janvier 1901
Destinataire : Mademoiselle Jane Villy 6, rue Bât d’Argent à Lyon
Texte : Amplepuis, 20 janvier 1901
Trois porte-bonheur : saisis-les au passage, ma chérie.
Affection sincère et baisers de ton amie Nadia Tibiane
Expédition : 3 janvier 1904
Destinataire : Monsieur Huguenin à Outre Aube par Clairvaux (Aube)
Texte : Union Postale Universelle
Avec nos meilleurs vœux à l’occasion de la nouvelle année, nous vous prions d’accepter l’invitation de venir nous voir quand cela vous fera plaisir. Vous serez toujours bien accueillis et cela vous sortira un peu de la monotonie de votre Clairvaux.
Vos amis E. Boulais et Madame
11, rue Courtalon à Troyes, près de la Gare.
Date : 30 décembre 1907
Destinataires : M et Mme Frei 4 rue des Martirs (sic) Paris
Texte : Famille König (Helvetia)
Carte de vœux 1919 où s'échangent les quatre vertus magiques du trèfle à quatre feuilles : santé, bonheur, prospérité, amour… comme autant de saisons pour l'année à venir.
Date d'expédition : 31 décembre 1918
Texte : Ma chère petite amie, je viens t'offrir mes meilleurs vœux de bonne année pour 1919.
Je souhaite qu'elle t'apporte la réalisation de tous tes rêves. Présente mes meilleurs souhaits à tes parents. Mes baisers. Geneviève.
Titre : La course au bonheur… et les premiers Mickey des années 30
Texte : Mesdemoiselles Ginette et Rolande Dachet
Bons baisers de votre mémère (illisible). A bientôt de vous voir tous.
Amitiées (sic)
Date d'expédition : 29 octobre 1904
Texte : Mes meilleures amitiées (sic). Jane
Destinataire : Mlle Mary Odoul 3, rue Malebranche Paris Ve
Date d'expédition : 10 janvier 1914 de Genève
Texte : Chers oncle et tante, Bien un peu tardivement, je viens vous remercier de vos bons souhaits et vous dire qu'à mon tour, je vous souhaite bonheur, santé et tranquillité pour 1914. Je vois que votre petit soldat est de retour dans son foyer et vous devez en être très heureux... Je lui souhaite avec une bonne santé (le plus précieux de tous les biens) beaucoup de prospérité dans sa situation et un avenir heureux.
Et vous embrasse affectueusement
Destinataires : Monsieur et Madame Lugrin 132, av. Parmentier Paris
Texte : remerciement et bons souvenirs. Delphine et Anatole
Destinataires : M. et Madame Michel 1, rue du Grand Carrefour Evreux (Eure)
Les symboles du trèfle à 4 feuilles et du fer à cheval enchevêtrés,
Comme message d'amour constant…
Texte : Vendredi 25 juin 1932, écrite à 8 h du soir…
Mille bons baisers de celle qui vous aime et qui pense toujours à vous
Signature : Gabrielle
Destinataire : M. Gustave Loudais mécanicien à Toulon (Var)
Aux symboles classiques du couple de colombes (amour fidèle) et du myosotis (" ne m'oublie pas "), les années 20 ajoutent le véritable trèfle à 4 feuilles séché et collé en gage d'amour. Ces 2 trèfles (dont un seul est parvenu entier jusqu'à ce jour !) ont donc plus de 90 ans… beau signe de longévité d'une affection déjà perdue dans le temps.
Cette carte des années 20 reprend la mode du vrai trèfle séché et envoyé à ceux que l'on aime (ici, il est glissé dans une petite enveloppe collée sur la carte, au contenu graphiquement explicite). Les symboles de la chance d'aimer sont entremêlés : trèfle à 4 feuilles, myosotis, fer à cheval…
Les années 30 voient aussi dans le trèfle à 4 feuilles la garantie de ne pas fêter Sainte-Catherine ! " Trèfle à 4 feuilles promet mari à la belle ", dit le proverbe…
Texte : " Puisse tout vous sourire, et mes souhaits vous porter bonheur ".
Eric GUILLOUARD